Bah tu rajoutes des taxes à hauteur des loyers perdus, ça obligera soit à vendre soit à louer vu comment ça coûterait cher.
Ils préfèrent payer 2000 € de taxe de logement vacant plus la taxe foncière plus les charges plutôt que de prendre un locataire ? Je ne comprends pas.
Je pense que ça restera assez incompréhensible pour la majeure partie de la population :
Jacques Baudrier, adjoint au logement à Paris À qui appartient donc le parc laissé vacant ou occupé seulement quelques jours par an ? 58 % des logements en location de la capitale appartiennent à des propriétaires qui possèdent au moins cinq logements. « Avec quatre biens immobiliers, vous vous situez dans la minorité pauvre à Paris ! », ironise avec malice l’élu communiste. « Pour beaucoup, il s’agit de personnes âgées, voire très âgées, qui ont acquis leur patrimoine dans les années 1960-70. Elles n’ont pas envie de s’embêter avec des locataires », raconte l’adjoint logement de la ville.
C’est vraiment un autre monde
Ma proprio dans le 12eme, très âgée, possédait tout l’immeuble. Ainsi que celui d’à côté. Et encore d’autres dans Paris. Pour le coup elle était plutôt sympa en terme de loyer et d’entretien, mais putain c’est littéralement des dizaines de milliers d’euros qui tombent tous les mois, sans rien foutre.
Surtout qu’une agence immobilière peut faire 90% du boulot. Et la mairie propose un service de gestion immobilier gratuit pour éviter les prises de tête sans que ça coûte un sou aux propriétaires.
Des gens préfèrent garder des logements vides malgré tout, alors que la région souffre d’une crise immobilière, et que des familles et enfants dorment à la rue.
Sur 1,4 million de logements à Paris, on dénombre 400 000 propriétaires occupants – un chiffre très stable depuis vingt ans –, 350 000 logements en location et quelque 145 000 résidences secondaires et 145 000 logements vacants, selon les calculs réalisées par la mairie de Paris. [•••] Le reste est constitué de logements sociaux et intermédiaires ainsi que de 60 000 biens occupés à titre gratuit.
Que le dieu marché est équilibré, on dirait un Joker sous l’étamine.
Pas touche au marché ok? (À dire sur le ton de “pas touche à la 'oiture !”)